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Sur le banc
Quelques jours plus tard, elle l’appelle de nouveau. Elle dit: — Daniel, j’ai un service à te demander. Est-ce que nous pourrions nous retro...
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Augustin Meaulnes s’enfuit de l’école du village de Saint-Agathe en Sologne, où il est pensionnaire, au chapitre 4 de la première partie du ...
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Assez vite je me suis rendu compte qu’elles avaient peur de moi. Les infirmières, les filles de salle, les religieuses, mais aussi les médec...
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L'être parlant est soumis à l’ordre de la langue . Il l’est depuis son plus jeune âge et jusqu'à son dernier souffle. Et il l’est qu...
Essaie, je serais plutôt d'accord (comme d'ailleurs le sentiment populaire: je me souviens comme au catéchisme le prêtre chargé de cette tâche difficile - et cependant je crois nécessaire - insistait pour nous faire entrer dans le crâne que la fête essentielle, c'était Pâques et pas Noël)
RépondreSupprimerLa question-clé est celle de la Révélation. Tolstoï tient que tu ne crois pas parce les miracles te font croire, mais que tu peux croire aux miracles parce que tu crois. Or, dans ce cas, où se situe le fait (le moment) de la Révélation? Et la réponse ne peut résider alors (hors la grâce divine) que dans la puissance d'une histoire. Et il me semble qu'il n'en va pas autrement pour l'Ancien Testament.
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